Ya pas photo

Il marchait sous le ciel gris, penché sur son téléphone. Il avait décidé aujourd’hui d’aller au travail à pied pour faire un peu de sport se disait-il. Pas la moindre nouvelle positive, se disait-il en scrollant frénétiquement sur son téléphone.

Il leva alors la tête, regarda autour de lui et aperçu au bout du parking cette jeune femme qui se prenait en selfie. Il fut agréablement surpris et l’observa attentivement avec plaisir jouer avec son téléphone. Elle était plutôt grande, portait une très jolie robe à fleur qui contrastait avec la météo du jour. De lui, il devinait un joli sac qu’elle portait en bandoulière et un tatouage sur son épaule gauche.
Il était timide mais avait décidé de pimenter sa matinée. Il s’approcha d’elle, lui sourit et lui dit :
-          Est-ce que vous souhaitez que je vous prenne en photo ?
Elle lui sourit et accepta avec un large sourire. Lui était tout rouge de timidité. Il se fit un plaisir de la prendre, de plein pied, en portrait, des dizaines de shoot. Elle souriait si intensément qu’il apprécia à fond le moment. Parfois elle laissait ces doigts glisser sur les douces courbes de son corps, rendant le moment encore plus sensuel.
Il lui montra ensuite le résultat de ses poses avec plaisir, faisait défiler les photos une à une.  Le moment était si court et si long. Comme pour elle. Elle devait aller travailler mais lui proposa de venir boire un café chez elle. Elle était à deux pas de là.
Il accepta bien évidemment, en rougissant, en ne sachant plus s’il devait poser son regard dans ces yeux, sur ces douces jambes ou dans ce timide décolleté.
Le chemin fut bavard et très court. On était déjà devant chez elle. Elle ouvrit et l’invita à entrer. La maison était encore en bordel, des habits qui trainaient partout. Mais cela lui était égal. Elle l’imaginait dans cette robe fuseau noir, dans ce haut bleu transparent, observait avec attention espérant voir sa lingerie…
Elle croisa alors son regard en revenant avec les cafés. Et c’est comme si elle lisait dans ces pensées. Elle tira sa robe pour mieux couvrir ses jambes et découvrir sa lingerie et le galbe de sa poitrine. Il se mordit les lèvres et rougit. Il ne pouvait pas vraiment bouger, hésitait, doutait de lui.
Elle lui prit la main et la posa sur le haut de son sein. Son cerveau à lui bouillonnait : il voulait déchirer sa robe, mordre son oreille et l’attacher au canapé. Mais il faisait preuve de retenu. Il commença à caresser doucement son sein. Approcha timidement sa main droite et fit tomber les bretelles de sa robe. Il découvrit cette dentelle blanche avec plaisir. Sa poitrine était parfaitement mise en valeur. Il lui enleva tendrement la robe, embrassant chaque au fur et à mesure chaque cm de peau nu. Elle aimait cela et retira toute sa lingerie, espérant qu’il continue de jouer avec sa langue.
Il en mourrait d’envie et ne pu se retenir. Il lécha goulument chaque cm de sa poitrine avant de sucer son téton droit… glissa sa langue entre ces seins avant de dessiner le contour de son téton gauche… Puis le sucer fortement dans un doux bruit de lapement. Ces doigts à elle glissait sur son crâne, l’appuyant sur son sein. Elle le guida ensuite vers son entre jambe. Il le respira avec envie. Dans un soupir de plaisir, il commença à lécher de bas en haut l’auguste minou. Elle lâcha quelques soupirs de plaisir. C’était doux mais ce matin elle en voulait plus.
Elle lui releva la tête et se leva. Elle le posa dans son canapé pour le déshabiller rapidement. Elle était si humide alors que son cerveau était en ébullition. Il était nu devant elle en quelques secondes. Elle lui caressait sa poitrine, descendit promptement vers son entre jambe et masturba doucement son sexe. Il ne pouvait plus bouger, figé par l’excitation.
Elle écarta les jambes, pris sa main pour qu’il caresse son minou et le sente bien gonflé et bien mouillé. Elle se posa ensuite sur lui, fit des mouvements de bassin d’abord lent mais très vite très intense. Le plaisir montait en elle comme la lave d’un volcan qui voulait sortir. Ces mains à lui se posait alors par reflexes sur ces seins.
C’était trop intense, elle jouit intensément, un cri puissant et sensuel comme il en avait jamais entendu. Il éjacula quelques secondes après. Ces sons étaient pour lui irrésistibles.
Elle penchait sa tête en arrière, profitant encore de l’instant.  Lui profitait encore de son corps et plotait ses seins délicatement.
Ils ouvrirent les yeux d’une manière synchro, se regardèrent au fond des yeux. Et soudain, il se mara, fort puissant, comme le prolongement d’une agréable jouissance.
Quelle rencontre !

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