un café solo
Comme tous les lundis, il était debout plus tôt et buvait
doucement un café habillé d'un caleçon et d'un t-shirt.
Comme tous les lundis, il était
seul, son regard plongé dans le noir café, les pensées perdues dans son
travail. Il se demandait aussi ce qu'il allait porter : chemise, pantalon,
pull, t-shirt...
Elle s'était changé
discrètement, une nuisette pour égayer son réveil. Elle passa au loin, les
jambes douces, longues et si parfaites bien en vue. Il avala son café d'un
coup, s’étouffant presque.
Ses yeux s'écarquillaient, ces
doigts se crispent sur le mug, ses pensées se concentre sur la volupté du
moment. Elle en joue, la dentelle et la soie l'habille à merveille, la rendent
encore plus envoûtante.
Elle se dandine lascivement à
quelques mètres de lui, dans la pénombre. Il ne voit que son dos, ses fesses et
ses jambes... Elle se retourne, se cambre, glisse ses mains le long de son
corps, s'arrête sur sa poitrine qu'elle aussi adore caresser.
Elle pose un doigt sur ses
lèvres comme pour dire "silence, la petite dort, il ne faut pas la
réveiller".
Il se lèvre en silence, les
effets de la danse matinale se voit dans ces yeux écartelés, ses mains
fébriles, son torse chaud et son énorme chapiteau. Elle lui prend la main et
l'emmène à la cuisine. Elle se pose sur le plan de travail, cuisses écartées.
Elle pose sa main sur sa poitrine, elle meurt d'envie de sentir ces mains
rugueuse sur cette partie charnue, sur cette féminité qui pointe de désir.
Il s’exécute, parfait comme
toujours : un mélange entre masculinité, fermeté et douceur d'ange. Elle veut
se retenir pour en profiter à fond, mais elle mouille pourtant de plus en plus.
Quelques gouttes glissent sur ces cuisses et tombent sur le plan de travail.
Elle s'avance, écarte encore plus ces cuisses. Elle est prête, elle veut
l'accueillir. Elle déboutonne le caleçon et saisie son gland du bout des
doigts. Le pince doucement pour qu'il glisse entre ses doigts. une fois, deux
fois, trois fois... Elle le saisie aux hanches, le pousse du bout des doigts
pour qu’il glisse doucement entre ces cuisses, cm par cm jusqu'à arriver aux
20.
Ces talons frappent ces fesses
et le pousse encore. Comme si ces 20 cm ne suffisaient pas à contenter son
appétit matinal, son appétit animal, son appétit vaginal. Son antre
gargouillait de plaisir et d'envie. Il lui servit un petit déjeuner à la
hauteur ! Des allers et retours entre les mets délicats, de quoi chercher et
lui offrir tout ce qu'elle souhaitait ce matin. Ces mains servait la douce,
empoignaient les couverts mais il ne s'en servait pas vraiment. Il aimait ces
petits déjeuners nature où l'on prenait tout à la main.
Elle se cambre, s'en est trop,
elle vibre du fond de la gorges aux lèvres, une minute intense. Elle lâche son
instinct animal, le griffe en redescendant. Ces vibrations l'ont fait venir,
fort, puissant. Il ferme les yeux et sent sa bouche remonter de son coup à sa
bouche.
Ils s'embrassent
langoureusement, plus besoin de café, ils sont réveillé, excité,
contenté...
Il se penche près de son
oreille et murmure doucement : "vivement lundi prochain"
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