Prendre les jambes à son coup
Elle avait quelque chose de plus. C'était certain. Et ce n'était pas son physique mais quelque chose de bien plus profond, bien plus intense.
On s'en rendait compte lorsqu'elle portait une jupe ou un petit short. Cette façon de serpenter entre les rayons du magasin faisait d'elle une tentation intense. Ces jambes excitaient l'imagination et laissaient les hommes hébétés. Comme si une sécurité avait été enclenchée pour leur éviter la surchauffe ou les actions trop animales.
D'instinct, je l'avais toujours vue, toujours su. Elle était incroyable. Déjà lors de l'entretien de recrutement il lui a fallu une concentration intense pour ne pas céder aux images que son cerveau projetait avec fourberie.
C'était avec la même concentration qu'il venait au travail tous les jours. Mais aujourd'hui, lendemain de son anniversaire, il était bien plus fatigué que d'habitude. Il somnolait presque comme le magasin était à moitié vide. Quand soudain :
- Jean, est-ce que vous pouvez venir dans mon bureau ?
- Oui....
- Nicole, je vous confie le magasin en attendant, venez nous chercher si vous avez besoin
- Très bien madame
Il l'a suivait à l'étage, l'escalier était étroit, comme semblait l'être cette jupe en jean. Elle moulait parfaitement ces fesses musclées et rebondies ; parfaitement à son goût.
- Mon cher Jean, j'ai appris que vous aviez anniversaire hier, et je voulais fêter cela avec vous.
Elle déboucha une bonne bouteille de rouge, un son enivrant comme son parfum fruité. Quelques chips l'attendaient là. Elle c'était mise à l'aise, tong et petit chemisier jaune. Elle s’assoie sur son bureau, croise ces jambes et le regarde. Il prend le verre de vin qu’elle lui tend sans pouvoir détourner son regard de ces jambes. Une folle sensualité. Même presque immobiles elles incitaient au désir.
Maladroitement, il effleura sa cuisse ; timidement, il enfuit son regard dans son décolleté, n'osant la croiser. Elle lui saisie la main et la posa délicatement sur sa cuisse. Son sang ne fit qu'un tour. Sa concentration s'évapora d'un coup sous la chaleur.
Il remonta doucement. C'était si agréable, de la soie, quelque chose d'animal et de si parfait au-delà de l'ordinaire, de ce qu'il avait pu connaitre. Il se bloqua. Mais elle en voulait plus.
Elle ouvrit son chemisier et le tira par les cheveux pour qu'elle soit dévorée.
Il n'arrivait plus à réagir, fatigue, concentration, timidité. Tout se mélangeait dans un agréable moment.
Il lécha doucement. Elle écarta les cuisses, enfila sa jambe autour de la taille du jeune homme et le poussa par les fesses pour qu'il s'approche. Elle laissa sa tête tomber en arrière pendant que ses doigts déboutonnait le jeune homme.
Elle lui empoignant son sexe d'une main. Elle glissait un doigt de l'autre en elle. Commençant à gémir...
Il ouvrit les yeux, pupilles dilatées à souhait. Il recula, se reboutonna. Pris peur. Bue une gorgée de vin et se mit en fuite. Bredouillant :
- merci pour votre cadeau d'anniversaire
Ce n'était pas comme ça qu'il imaginait sa première fois. Ce n'est pas ce qu'il voulait. Mais il garderait à jamais le goût de ses jambes, ses seins, ses doigts... Aussi longtemps qu'il travaillerait ici.
On s'en rendait compte lorsqu'elle portait une jupe ou un petit short. Cette façon de serpenter entre les rayons du magasin faisait d'elle une tentation intense. Ces jambes excitaient l'imagination et laissaient les hommes hébétés. Comme si une sécurité avait été enclenchée pour leur éviter la surchauffe ou les actions trop animales.
D'instinct, je l'avais toujours vue, toujours su. Elle était incroyable. Déjà lors de l'entretien de recrutement il lui a fallu une concentration intense pour ne pas céder aux images que son cerveau projetait avec fourberie.
C'était avec la même concentration qu'il venait au travail tous les jours. Mais aujourd'hui, lendemain de son anniversaire, il était bien plus fatigué que d'habitude. Il somnolait presque comme le magasin était à moitié vide. Quand soudain :
- Jean, est-ce que vous pouvez venir dans mon bureau ?
- Oui....
- Nicole, je vous confie le magasin en attendant, venez nous chercher si vous avez besoin
- Très bien madame
Il l'a suivait à l'étage, l'escalier était étroit, comme semblait l'être cette jupe en jean. Elle moulait parfaitement ces fesses musclées et rebondies ; parfaitement à son goût.
- Mon cher Jean, j'ai appris que vous aviez anniversaire hier, et je voulais fêter cela avec vous.
Elle déboucha une bonne bouteille de rouge, un son enivrant comme son parfum fruité. Quelques chips l'attendaient là. Elle c'était mise à l'aise, tong et petit chemisier jaune. Elle s’assoie sur son bureau, croise ces jambes et le regarde. Il prend le verre de vin qu’elle lui tend sans pouvoir détourner son regard de ces jambes. Une folle sensualité. Même presque immobiles elles incitaient au désir.
Maladroitement, il effleura sa cuisse ; timidement, il enfuit son regard dans son décolleté, n'osant la croiser. Elle lui saisie la main et la posa délicatement sur sa cuisse. Son sang ne fit qu'un tour. Sa concentration s'évapora d'un coup sous la chaleur.
Il remonta doucement. C'était si agréable, de la soie, quelque chose d'animal et de si parfait au-delà de l'ordinaire, de ce qu'il avait pu connaitre. Il se bloqua. Mais elle en voulait plus.
Elle ouvrit son chemisier et le tira par les cheveux pour qu'elle soit dévorée.
Il n'arrivait plus à réagir, fatigue, concentration, timidité. Tout se mélangeait dans un agréable moment.
Il lécha doucement. Elle écarta les cuisses, enfila sa jambe autour de la taille du jeune homme et le poussa par les fesses pour qu'il s'approche. Elle laissa sa tête tomber en arrière pendant que ses doigts déboutonnait le jeune homme.
Elle lui empoignant son sexe d'une main. Elle glissait un doigt de l'autre en elle. Commençant à gémir...
Il ouvrit les yeux, pupilles dilatées à souhait. Il recula, se reboutonna. Pris peur. Bue une gorgée de vin et se mit en fuite. Bredouillant :
- merci pour votre cadeau d'anniversaire
Ce n'était pas comme ça qu'il imaginait sa première fois. Ce n'est pas ce qu'il voulait. Mais il garderait à jamais le goût de ses jambes, ses seins, ses doigts... Aussi longtemps qu'il travaillerait ici.
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