L'harmonie des sens

Elle était déjà presque endormie, bercée par les mains douces qui parcouraient ces jambes nues et son ventre. Il alluma doucement cette lampe en appuyant délicatement sur son bouton, comme à son habitude.

Mais, cette fois-ci, c'était différent, elle voulait lui donner une invitation rare et commença par retirer tout ce qui habillait le bas de son corps. Il se leva et se positionna entre ces cuisses, prêt à l'embrasser et .... Elle posa sa main sur sa tête, la pressant vers bien au-delà de son ventre.

Elle voulait à nouveau sentir son sourire lorsqu'il respire les volutes de désirs féminins. Il ne se fit pas prier et répondit à l'invitation par un coup de langue languissant de l'entrée de son anus à son ticket de métro. Les portes étaient ouvertes. Il entra rapidement de peur qu'elles ne se ferment en le laissant sur le quai.

Elle se mordit la lèvre, glissa sa main dans les cheveux raids et forts pour le pousser au plus près d'elle. Ces jambes jouaient d'un air sensuel ce grand écart qui lui ouvrait grande la porte de son intimité, de sa profonde féminité. Il s'échappa, changeant de wagon, dessinant le contour d'un portrait érotique. Sa langue était son crayon, la douceur de sa peau son inspiration. Il aimait tant lécher doucement chaque cm charnu de ces cuisses, chaque mm de ces lèvres gonflées, sucer ce qui se présentait devant sa bouche.

Une lèvre charnue, comme un fruit suave et sucré, tremblait. Il aspirait comme pour en emporter le goût au plus profond de sa gorge. Elle lâcha un petit crie, il lâcha prise. Elle se perdait dans ces sensations, elle ne parlait, gémissait presque jamais. Mais pourtant, l'intensité du moment était insoutenable. Elle approchait sa main de son visage de mâle, comme pour lui demander de s'arrêter... Elle souhaitait pourtant qu'il continu.

Il ne pouvait l'écouter, trop de silences insoutenables. Il glissa sa main droite au plus près de son désir d'homme. Vas et vient rapide, contre un mollet féminin et doux. Son excitation était à son comble et il se donnait du mâle pour se concentrer sur la belle.

Elle sentit son désir contre elle, un frottement dur et doux, comme lui. Elle ne bougeait plus et se laissait faire, c'était si intense, il ne fallait surtout pas qu'il s'arrête, surtout qu'il prenne son temps, qu'il prenne des heures pour elle.

Il ne pouvait plus beaucoup se retenir, il glissa une main ferme sous ces fesses pour la soulever, la faire se cambrer. Il entra sa langue aussi loin qu'il put, jouant, dessinant des ronds, goûtant chaque cm de son vagin comme il y a quelques minutes sa vulve. Des goûts subtiles, nombreux et évoluant avec les minutes qui passaient comme des secondes.

S'en était trop pour elle, d'un cri tout en retenu, bouche fermé, lèvre ouverte, elle prit son pied. Il avala d'un trait son plaisir, la laissa s'envoler en bonne compagnie et attendit qu'elle atterrisse lentement, en douceur. Un dernier lapage pour garder encore longtemps ce goût de fruit, de quoi accompagner sa main droite vers le plaisir.

Il se releva doucement, sa main droite ne pouvait plus se retenir tellement les sensations étaient fortes. Elle n'était pas encore descendue mais voulait l'honorer avant de sombrer dans le plus délicat des repos. Elle le gratta de son anus à son sexe gonflé. Le pris en main fermement et commença les vas et vient intense.

S'en était trop, il ne pouvait plus se retenir bien qu'il souhaitait que ce moment dure infiniment. Elle accueilli son jus brûlant sur son ventre, sa poitrine, son cou. Elle continuait ces gestes plus doucement comme pour prolonger le plaisir mâle. Une dernière goutte qui glisse sur ses mains pour la rassasier.

Il se coucha contre elle, submergé de plaisir pour des siècles. Elle resta toute nue dans ce lit, réchauffé par son odeur de mâle satisfait. Il gardait en bouche le souvenir d'un fruit mûr et délicat, juteux ferme. 

La perfection d'une harmonie des sens.

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